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Le secteur médico-social, longtemps placé sous le signe de l’assistance et inscrit dans une relation asymétrique et résiduelle au champ sanitaire, n’a été transcrit que tardivement dans la législation. Depuis la première loi relative aux institutions sociales et médico-sociales du 30 juin 1975, une série de lois et de textes réglementaires sont venus encadrer et renforcer la professionnalisation des intervenants du secteur. Désormais, derrière la dénomination très large des « métiers de l’autonomie » une pluralité de métiers coexiste, allant de l’auxiliaire de vie à domicile au directeur d’établissement médico-social en passant par l’éducateur spécialisé et la diversité des professionnels médicaux et paramédicaux. Sans prétendre rendre-compte exhaustivement des professions du secteur, cette table ronde vise à dresser les portraits de ces professionnels en front et back office à l’œuvre et leurs conditions de travail dans un contexte d’évolution et d’adaptation de l’offre d’accompagnement et de soins. Face à une multiplication et une intensification des besoins sociaux des bénéficiaires et aux difficultés de recrutement que connait le secteur, il s’agit d’interroger le « travail en actes » de ces professionnels et les tensions qui traversent leurs conditions d’exercice.
Le secteur médico-social, longtemps placé sous le signe de l’assistance et inscrit dans une relation asymétrique et résiduelle au champ sanitaire, n’a été transcrit que tardivement dans la législation. Depuis la première loi relative aux institutions sociales et médico-sociales du 30 juin 1975, une série de lois et de textes réglementaires sont venus encadrer et renforcer la professionnalisation des intervenants du secteur. Désormais, derrière la dénomination très large des « métiers de l’autonomie » une pluralité de métiers coexiste, allant de l’auxiliaire de vie à domicile au directeur d’établissement médico-social en passant par l’éducateur spécialisé et la diversité des professionnels médicaux et paramédicaux. Sans prétendre rendre-compte exhaustivement des professions du secteur, cette table ronde vise à dresser les portraits de ces professionnels en front et back office à l’œuvre et leurs conditions de travail dans un contexte d’évolution et d’adaptation de l’offre d’accompagnement et de soins. Face à une multiplication et une intensification des besoins sociaux des bénéficiaires et aux difficultés de recrutement que connait le secteur, il s’agit d’interroger le « travail en actes » de ces professionnels et les tensions qui traversent leurs conditions d’exercice.
Le secteur médico-social, longtemps placé sous le signe de l’assistance et inscrit dans une relation asymétrique et résiduelle au champ sanitaire, n’a été transcrit que tardivement dans la législation. Depuis la première loi relative aux institutions sociales et médico-sociales du 30 juin 1975, une série de lois et de textes réglementaires sont venus encadrer et renforcer la professionnalisation des intervenants du secteur. Désormais, derrière la dénomination très large des « métiers de l’autonomie » une pluralité de métiers coexiste, allant de l’auxiliaire de vie à domicile au directeur d’établissement médico-social en passant par l’éducateur spécialisé et la diversité des professionnels médicaux et paramédicaux. Sans prétendre rendre-compte exhaustivement des professions du secteur, cette table ronde vise à dresser les portraits de ces professionnels en front et back office à l’œuvre et leurs conditions de travail dans un contexte d’évolution et d’adaptation de l’offre d’accompagnement et de soins. Face à une multiplication et une intensification des besoins sociaux des bénéficiaires et aux difficultés de recrutement que connait le secteur, il s’agit d’interroger le « travail en actes » de ces professionnels et les tensions qui traversent leurs conditions d’exercice.
Le secteur médico-social, longtemps placé sous le signe de l’assistance et inscrit dans une relation asymétrique et résiduelle au champ sanitaire, n’a été transcrit que tardivement dans la législation. Depuis la première loi relative aux institutions sociales et médico-sociales du 30 juin 1975, une série de lois et de textes réglementaires sont venus encadrer et renforcer la professionnalisation des intervenants du secteur. Désormais, derrière la dénomination très large des « métiers de l’autonomie » une pluralité de métiers coexiste, allant de l’auxiliaire de vie à domicile au directeur d’établissement médico-social en passant par l’éducateur spécialisé et la diversité des professionnels médicaux et paramédicaux. Sans prétendre rendre-compte exhaustivement des professions du secteur, cette table ronde vise à dresser les portraits de ces professionnels en front et back office à l’œuvre et leurs conditions de travail dans un contexte d’évolution et d’adaptation de l’offre d’accompagnement et de soins. Face à une multiplication et une intensification des besoins sociaux des bénéficiaires et aux difficultés de recrutement que connait le secteur, il s’agit d’interroger le « travail en actes » de ces professionnels et les tensions qui traversent leurs conditions d’exercice.
Le secteur médico-social, longtemps placé sous le signe de l’assistance et inscrit dans une relation asymétrique et résiduelle au champ sanitaire, n’a été transcrit que tardivement dans la législation. Depuis la première loi relative aux institutions sociales et médico-sociales du 30 juin 1975, une série de lois et de textes réglementaires sont venus encadrer et renforcer la professionnalisation des intervenants du secteur. Désormais, derrière la dénomination très large des « métiers de l’autonomie » une pluralité de métiers coexiste, allant de l’auxiliaire de vie à domicile au directeur d’établissement médico-social en passant par l’éducateur spécialisé et la diversité des professionnels médicaux et paramédicaux. Sans prétendre rendre-compte exhaustivement des professions du secteur, cette table ronde vise à dresser les portraits de ces professionnels en front et back office à l’œuvre et leurs conditions de travail dans un contexte d’évolution et d’adaptation de l’offre d’accompagnement et de soins. Face à une multiplication et une intensification des besoins sociaux des bénéficiaires et aux difficultés de recrutement que connait le secteur, il s’agit d’interroger le « travail en actes » de ces professionnels et les tensions qui traversent leurs conditions d’exercice.
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